Malgré condamnation et démissions, le Parti les Transformateurs continue de défier le pouvoir et de faire parler de lui.
Une opposition qui ne se laisse pas intimider
Au Tchad, le Parti les Transformateurs reste une force politique incontournable. La condamnation de son président, Dr Masra Succès, et les départs successifs de cadres comme le Dr Sitak Yombatina n’ont pas entamé la détermination du parti. Loin de s’effacer, il continue de peser dans le débat national.
Une autre provocation.
A lire aussi / Ray’s Kim : un départ, mille consciences éveillées
Mardi 21 octobre, un nouvel épisode a attiré l’attention : la plaque signalant le siège du Parti les Transformateurs, en face de l’hôtel Zenabel, a été démolie et emportée par des hommes en treillis. Aucune explication officielle n’a été donnée, mais pour le parti, il s’agit d’une provocation manifeste visant à museler une opposition qui dérange.
Une voix qui résiste
Depuis sa création, le Parti les Transformateurs s’est imposé comme une alternative crédible et critique face aux abus du pouvoir. Chaque attaque contre lui ne fait que renforcer sa légitimité. Mais son noyau dur demeure uni, prêt à poursuivre ses actions pour la justice et l’égalité.
Le Parti les Transformateurs continue de déranger.
Malgré les obstacles, le Parti reste une voix incontournable sur la scène politique tchadienne. Les intimidations ne l’affaiblissent pas ; elles soulignent au contraire l’importance de sa mission.
Le Parti les Transformateurs démontre ainsi que sa détermination et son engagement pour la démocratie et la justice sont plus forts que jamais.
HIGDE NDOUBA Martin
