Sur invitation du président ivoirien, Assami Goïta en visite à Abidjan a été accueilli ce mercredi 24 juillet dans la capitale ivoirienne par le président ivoirien Alassane Ouattara dans une atmosphère empreinte de convivialité et de fraternité.
Cette visite de Assami Goïta à Abidjan, à l’invitation du président Ouattara vise à dissiper les tensions et à illustrer publiquement la volonté des deux parties à regarder désormais dans la même direction.
Rencontre Historique entre Alassane Ouattara et Assimi Goïta
Il était question pour les autorités ivoiriennes de montrer patte blanche. Cette visite de Assimi Goïta à Abidjan se veut donc une démonstration à l’opinion nationale et internationale que l’affaire des militaires ivoiriens arrêtés au Mali n’était qu’un malentendu et peut désormais se conjuguer au passé.
La visite de Assami Goïta à Abidjan, marque ainsi une étape décisive dans les relations diplomatiques entre la Côte d’Ivoire et le Mali, renforçant les liens de coopération et de solidarité entre les deux nations ouest-africaines.
La visite de Assami Goïta à Abidjan, un début d’apaisement des tensions entres les deux nations
« Nous attendons toujours qu’il puisse effectuer cette visite», a déclaré Téné Birahima Ouattara, ministre Ivoirien de la défense et frère cadet du président Alassane Ouattara poursuivant: « Les choses se sont beaucoup apaisées » dans la relation entre les deux voisins.
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Rappelons que la relation entre les deux voisins s’est dégradée après l’arrestation de 46 militaires ivoiriens à Bamako en 2022. Ils ont finalement bénéficié de la grâce présidentielle pour être relâchés après six mois de détention.
La visite de Assimi Goïta à Abidjan en Côte d’Ivoire, montre l’engagement des deux dirigeants à poursuivre et à approfondir leur collaboration dans divers domaines d’intérêt commun. Cette rencontre historique de la visite du président malien à Abidjan, symbolise une nouvelle ère de coopération et de solidarité entre la Côte d’Ivoire et le Mali, promettant un avenir prospère et pacifique pour les deux nations.
AMINA KABO DJARMAH, stagiaire
