Les ministres de la culture des pays de l’AES étaient en communion autour d’un repas organisé par le comité national d’organisation de la 21e édition de la Semaine nationale de la Culture (SNC), le dimanche 28 avril 2024 à Bobo-Dioulasso. Un repas dit fraternel pour rendre hommage à l’endroit de tous ceux qui ont contribué à la tenue et la réussite de la 21e SNC.
Organisée par le comité national d’organisation de la 21e édition de la SNC et le ministère en charge de la Culture, cette communion autour d’un repas, a réuni les ministres de la culture des pays de l’AES ainsi que leurs délégations pour magnifier la beauté du brassage culturel.
La présence des pays des l’AES à la SNC 2024 saluée
Dans sa prise de parole, le ministre burkinabè en charge de la Culture, Jean Emmanuel Ouédraogo, a traduit la reconnaissance du gouvernement burkinabé aux délégations du Niger et du Mali, venus célébrer la culture dans toute sa splendeur. Selon le ministre burkinabè en charge de la Culture, la présente communion autour d’un repas se veut un hommage à l’endroit de tous ceux qui ont contribué à la tenue et la réussite de la 21e SNC.
Communion autour d’un repas, une confirmation de la bonne relation entre les pays de l’AES
Le ministre en charge de la culture du Niger, Abdourahmane Amadou, la participation des pays frères de l’AES à cette fête de la culture est l’affirmation de tout ce qui unit les trois pays par la tradition, l’histoire, la géographie et le contexte sécuritaire d’aujourd’hui.
Pour lui, c’est une occasion de montrer à la face du monde que l’Alliance des Etats du Sahel (AES) est une réalité.
« C’est pour nous un honneur d’être parmi vous à l’occasion de cette SNC », a-t-il déclaré..
Le ministre malien chargé de la culture, Andogoly Guindo, a, lui, salué les devanciers qui ont eu l’idée de la création de ce rendez-vous culturel, tout en traduisant sa gratitude à l’endroit des autorités burkinabè pour l’invitation à la 21e édition de la SNC.
Il a soutenu: « Ces trois pays ont en commun un patrimoine culturel, qui constitue la plus grande richesse de cet espace AES ». Il a expliqué que la culture a un rôle important à jouer dans ce tournant de l’histoire des peuples de l’AES, où les peuples y sont en train de réécrire leurs histoires vraies.